Dans ce dossier spécial, vous allez obtenir :
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Des réponses claires et précises aux questions que tous les propriétaires se posent : Comment se débarrasser des poux sur les chevaux ? Est-ce que les poux des chevaux se transmettent aux humains ? Comment voir si mon cheval a des poux ? Quel est le remède le plus efficace contre les poux ?
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Un point complet sur la phtiriose, une infestation parasitaire fréquente chez les chevaux, avec ses symptômes caractéristiques et les zones du corps à surveiller.
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Une explication simple et visuelle pour reconnaître les poux chez le cheval, comprendre leur cycle de vie, et différencier les parasites permanents des autres insectes.
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Des traitements vétérinaires efficaces, les bons gestes à adopter, et les précautions à prendre pour éviter une propagation dans l’écurie.
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Une solution naturelle complémentaire avec un répulsif plébiscité pour éviter le retour des poux et assurer le confort du cheval au quotidien.
Bonne lecture !
On entend parfois dire que les chevaux ne peuvent pas attraper de poux – LES POUX seraient réservés aux humains ou aux autres animaux. C’est une idée reçue qu’il faut corriger. En réalité, les chevaux peuvent eux aussi être infestés par ces parasites.
Ce problème est même relativement courant en période hivernale. L’infestation de poux chez un animal porte le nom scientifique de phtiriose. Chez le cheval, la phtiriose est considérée comme une dermatose fréquente, en particulier en fin d’hiver et au début du printemps.
La phtiriose constitue l’une des principales causes de démangeaisons à cette saison.
Comprendre les poux du cheval
Ces parasites sont de petits insectes sans ailes qui vivent dans le pelage du CHEVAL.
On distingue deux types principaux chez cet hôte :
1. les poux broyeurs (qui rongent les débris de peau) et les poux piqueurs (qui aspirent le sang et la lymphe).
Dans tous les cas, ils provoquent des irritations cutanées intenses (on parle de prurit).
Heureusement, ces poux ne transmettent pas de maladies graves – à la différence de parasites comme les tiques – mais leur présence cause un fort inconfort pour le cheval.
Cycle de vie et transmission des poux du cheval
Les poux du cheval sont des parasites permanents
Les poux du cheval sont ce qu’on appelle des parasites permanents, c’est-à-dire qu’ils accomplissent l’entièreté de leur cycle de vie sur leur hôte et survivent mal en dehors de celui-ci.
Spécificité à l'espèce équine : un pou de cheval ne survit pas sur d'autres espèces
Ils sont très spécifiques de l’espèce équine, ce qui signifie qu’un pou de cheval ne peut pas vivre durablement sur une autre espèce animale.
Absence de risque de contamination directe à l'homme
Il n’y a donc pas de risque de contamination directe à l’homme – un point que nous détaillerons plus loin.
Possibilité de contamination indirecte via l'humain (porteur transitoire)
Cela étant dit, l’humain peut servir de porteur transitoire de contamination indirecte. Concrètement, si vous touchez ou brossez un cheval infesté, un ou deux poux peuvent grimper sur vos vêtements, puis tomber plus tard sur un autre cheval sain et l’infester à son tour. Ce scénario reste rare mais possible.
Comment reconnaître une infestation de poux chez le cheval ? (Symptômes)
Signes cliniques liés aux démangeaisons (prurit)
Un cheval infesté par des poux va le manifester par des signes cliniques évidents, liés principalement aux démangeaisons provoquées par les parasites (symptômes de prurit).
Démangeaisons intenses : grattage, mordillage, léchage Démangeaisons intenses (prurit) :
le cheval se gratte frénétiquement contre les murs, barrières ou arbres, il se mordille et se lèche fréquemment pour tenter de soulager l’irritation. Ce comportement de grattage est souvent le premier indice d’une infestation.
Lésions cutanées et croûtes dues au grattage Lésions cutanées et croûtes :
à force de se gratter, l’animal peut présenter des plaies superficielles, des rougeurs de la peau et des croûtes ou des squames (pellicules) visibles dans le pelage. La peau peut s’épaissir et s’abîmer si le grattage se prolonge, témoignant d’une dermatite due au prurit.
Chute de poils et crins cassés, zones de dépoilation Chute de poils et crins cassés :
on observe des zones de perte de poils par endroits (dépoilations localisées) et des crins arrachés au niveau de la crinière ou de la queue. Le pelage devient irrégulier, par plaques, parfois confondu à tort avec la teigne ou d’autres affections dermatologiques.
Aspect ébouriffé du poil Aspect ébouriffé du poil :
le poil peut devenir terne, sec et hérissé (poil « piqué »), surtout chez les jeunes chevaux fortement parasités. Un cheval infesté a souvent un aspect négligé malgré les soins, car les parasites perturbent la bonne santé de la robe.
Affaiblissement général en cas d'infestation sévère (amaigrissement, anémie) Affaiblissement général en cas sévère :
dans les infestations très massives et prolongées, le cheval peut maigrir ou présenter des signes d’anémie (si ce sont des poux piqueurs qui lui pompent du sang). Une perte de poids et un poil terne, combinés au prurit, doivent faire penser aux poux notamment chez un animal affaibli.
Localisation privilégiée des lésions (tête, encolure, dos, base de la queue, épaules, intérieur des cuisses)
Les poux peuvent se retrouver sur l’ensemble du corps du cheval, mais certaines zones du corps sont plus touchées par l’infestation. On retrouve principalement des lésions de grattage au niveau de la tête et de l’encolure (crinière), sur le dos et à la base de la queue, ainsi qu’au niveau des épaules et de l’intérieur des cuisses. Ces régions sont à inspecter en priorité en cas de suspicion.
Observation visuelle du pelage pour détecter les poux adultes
Pour vérifier la présence de poux, il faut procéder à une observation visuelle minutieuse du pelage. Écartez les crins de la crinière et de la queue, et inspectez le poil, idéalement sous une bonne lumière. Les poux adultes sont de petite taille (quelques millimètres) et de couleur brun-grisâtre ; ils bougent rapidement pour se cacher, ce qui peut les rendre difficiles à voir à l’œil nu, surtout sur les chevaux à robe foncée ou épaisse.
Détection plus facile des lentes (œufs) à la base des poils
En revanche, la présence de lentes (les œufs de poux) est plus facile à détecter : on les voit sous forme de petits points ovales blanc jaunâtre solidement collés à la base des poils, notamment sur la crinière, le toupet ou les poils de queue.
Utilisation d'un peigne fin pour confirmer le diagnostic
Un peigne fin (type peigne anti-poux) passé dans les crins peut aider à faire tomber des poux ou des lentes et à confirmer le diagnostic.
Diagnostic différentiel par un vétérinaire (gale, dermite...)
Si vous avez un doute avec d’autres affections (gale, dermite...), votre vétérinaire pourra examiner des prélèvements de poils ou de peau au microscope pour identifier formellement le parasite en cause.
En résumé, la combinaison de démangeaisons intenses, de zones de poil manquant et la découverte de poux ou de lentes à la base des crins signe presque à coup sûr une infestation de poux chez le cheval.
Les poux du cheval et l'humain
Lorsqu’un propriétaire découvre des poux sur son cheval, une inquiétude naturelle est de se demander si ces parasites peuvent passer sur l’homme (par exemple le cavalier qui le manipule) et provoquer une infestation humaine. La réponse scientifique et vétérinaire est rassurante : les poux du cheval ne parasitent pas l’être humain.
Un pou de cheval sur un humain ne peut pas s'établir ni se reproduire
En effet, les espèces de poux qui infestent les équidés sont spécifiques à cette espèce et ne peuvent survivre durablement que sur les chevaux. Il n’y a donc pas de risque que les poux se transmettent directement du cheval à l’homme. Un pou de cheval qui se retrouverait accidentellement sur la peau ou les vêtements d’une personne ne ferait que s’y promener momentanément, sans réussir à s’y établir ni à s’y reproduire.
Les poux humains n'infestent pas les animaux
De même, les poux humains (comme le pou de tête ou de corps) n’infestent pas les animaux : chaque espèce de pou a ses hôtes de prédilection.
Précautions à prendre pour éviter la contamination indirecte d'autres chevaux
Par mesure de précaution, il est conseillé de se changer ou au moins de bien brosser ses vêtements après avoir manipulé un cheval porteur de poux, et de se laver les mains et les avant-bras.
Conseils d'hygiène après manipulation d'un cheval infesté
Il est conseillé de se changer ou au moins de bien brosser ses vêtements après avoir manipulé un cheval porteur de poux, et de se laver les mains et les avant-bras.
Ordre des soins en cas de plusieurs chevaux
De plus, lorsqu’on s’occupe de plusieurs chevaux, il vaut mieux terminer les soins par le cheval parasité, après s’être occupé des chevaux sains, afin de limiter les risques de dispersion des poux.
En résumé, aucun risque pour votre santé :
vous ne « catcherez » pas les poux du cheval comme on attrape des poux de tête, mais appliquez de bonnes pratiques d’hygiène pour éviter d’en transporter involontairement vers d’autres équidés.
Comment éliminer les poux chez le cheval ? (Traitement)
Face à un cheval infesté de poux, il faut agir rapidement et de façon méthodique.
Nécessité d'un traitement antiparasitaire adapté et de mesures d'hygiène
L’éradication des poux passe par un traitement antiparasitaire adapté et par des mesures d’hygiène pour éviter la propagation.
Voici les principales étapes et conseils Vétérinaire pour se débarrasser efficacement des poux chez le cheval :
Isoler le cheval infesté pour éviter la contagion
La phtiriose étant très contagieuse entre équidés, il est primordial d’éloigner le cheval porteur des autres pendant toute la durée du traitement. Si le cheval vit en troupeau au pré ou en pension collective, isolez-le dans un box ou un paddock individuel. Si l’isolement total n’est pas possible, il faudra alors traiter tous les chevaux en contact de façon préventive pour éviter une épidémie dans l’écurie.
Couper ou tondre les poils infestés pour faciliter le traitement
Si le cheval a un très long poil d’hiver ou des zones bien localisées de poux (par exemple l’encolure), il est recommandé de tondre les zones atteintes et de nettoyer la peau avant d’appliquer le traitement. En réduisant l’épaisseur du pelage, on facilite l’accès du produit aux parasites et on élimine mécaniquement une partie des lentes collées aux poils.
Appliquer un traitement insecticide sur tout le corps du cheval
C’est le cœur du traitement. Il existe généralement des shampoings, lotions ou solutions insecticides à usage externe.
Le phoxime (Sebacil®) : le seul produit homologué en France
Un seul produit est officiellement homologué en France pour les poux du cheval (le phoxime, commercialisé en solution sous le nom Sebacil® 50%).
Autres traitements antiparasitaires utilisés sur prescription vétérinaire
D’autres traitements antiparasitaires destinés à d’autres espèces sont couramment utilisés sur les équidés sur prescription vétérinaire.
Respecter strictement la notice et porter des gants
Le principe est d’enduire entièrement le cheval de la solution antipoux en insistant sur les zones où se concentrent les parasites, puis de laisser agir et rincer si c’est un shampooing. Attention : ces produits étant potentiellement toxiques s’ils sont mal utilisés, il faut respecter strictement la notice et porter des gants lors de l’application.
Conseil vétérinaire pour le choix du produit et la posologie
Idéalement, faites appel à votre vétérinaire pour choisir le produit adéquat et sa posologie, surtout si vous n’êtes pas sûr du type de poux (piqueur ou broyeur) ou si le cheval a des problèmes de santé.
Répéter le traitement plusieurs fois pour éliminer les lentes écloses
Un point crucial est de comprendre qu’aucun traitement n’élimine les lentes (les œufs) en une seule fois. Les insecticides tuent les parasites adultes et les larves, mais pas les œufs qui vont continuer à éclore sur le cheval. Il est donc indispensable de renouveler le traitement plusieurs fois afin de casser le cycle de vie du pou.
Intervalle de 10-14 jours entre les traitements, pendant environ 3 semaines
Les vétérinaires conseillent en général de traiter au moins deux fois à 10-14 jours d’intervalle, parfois même une troisième fois, de manière à couvrir une période d’environ 3 semaines correspondant au cycle complet du parasite.
Importance de la durée du traitement pour casser le cycle de vie du pou
Par exemple, si vous faites un shampooing insecticide le Jour 1, il faudra refaire une application vers J+14 pour tuer les jeunes poux éclos entre-temps, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de lentes viables. Cette discipline dans la durée du traitement est la clé pour venir à bout de l’infestation.
Traiter l’environnement et le matériel
Bien que les poux soient des parasites permanents du cheval, ils peuvent survivre quelques jours à l’extérieur (jusqu’à une semaine dans de bonnes conditions) et surtout les lentes collées aux poils tombés peuvent éclore à proximité. Il faut donc veiller à une hygiène rigoureuse de l’environnement pendant le traitement.
- Nettoyez et désinfectez le matériel de pansage du cheval infesté (brosses, peignes...).
- Lavez ses couvertures, tapis de selle, licols et tout textile en contact avec lui à haute température ou avec un produit acaricide.
- Évitez de partager ce matériel avec d’autres chevaux.
- Il est également recommandé de curer et désinfecter le box ou l’abri où le cheval a séjourné, pour éliminer les poils morts et éventuels parasites qui s’y trouveraient.
- En pratique, beaucoup utilisent de l’eau additionnée d’un désinfectant insecticide pour badigeonner les murs et recoins du box.
- Une écurie propre et du matériel individuel par cheval aident grandement à contrôler la propagation des poux
Prévention des récidives et surveillance
Rester vigilant après le traitement et inspecter régulièrement le pelage
Une fois le traitement terminé et le cheval débarrassé de ses poux, restez vigilant. Inspectez de temps en temps le pelage en hiver pour détecter une éventuelle réinfestation précoce.
Mesures prophylactiques
Prévention signifie également prendre quelques mesures prophylactiques :
- Évitez le contact direct de votre cheval avec des équidés inconnus potentiellement porteurs (par exemple lors de regroupements hivernaux ou d’arrivées de nouveaux chevaux).
- Mettez en place une quarantaine de quelques jours et un examen attentif du nouveau venu.
- Ne partagez pas les brosses et équipements entre chevaux sans les nettoyer.
- Un pansage régulier de votre cheval permet non seulement de le garder propre, mais aussi de repérer rapidement la présence de “petites bêtes” avant qu’elles ne prolifèrent.
- Assurez-vous que votre cheval est en bonne santé générale : une alimentation équilibrée et éventuellement des compléments pour soutenir son immunité peuvent l’aider à mieux se défendre contre les parasites.
- On constate que les poux prolifèrent particulièrement sur des animaux affaiblis, âgés ou déjà malades, alors qu’un cheval en pleine forme sera moins impacté et pourra mieux tolérer une infestation légère.
- Garder son cheval en bon état corporel et cutané (peau saine, poil bien entretenu) fait donc partie intégrante de la prévention antiparasitaire.
En cas d'infestation persistante, consulter à nouveau le vétérinaire Si malgré tout une infestation persiste, n’hésitez pas à faire réexaminer le cheval par un vétérinaire pour ajuster le protocole (changement de molécule, recherche d’une baisse d’immunité sous-jacente, etc.).
Le remède le plus efficace contre les poux du cheval
Devant une infestation de poux, on cherche souvent le traitement miracle qui éradiquera rapidement tous les parasites. D’après l’avis des vétérinaires et professionnels équins, le remède le plus efficace contre les poux du cheval reste l’utilisation de produit qui évite l'arrivé des poux.
Exemple du Spray Anti-Piqûres d’Insectes Ekin
Pour compléter les mesures de lutte antiparasitaire, de nombreux cavaliers recommandent l’utilisation de produits répulsifs naturels afin d’éloigner les parasites et d’éviter les réinfestations.
L’un des produits phare plébiscités est le Ekin Spray Anti-Piqûres d’Insectes pour Cheval d’Équitation, un spray répulsif 100% naturel. Ce produit, issu de l’aromathérapie équine, est apprécié pour ses multiples atouts en matière de protection du cheval contre les insectes.
Le spray Ekin offre une protection immédiate du cheval contre un large éventail de parasites externes. Il agit comme un répulsif puissant contre les mouches et mouches plates, les taons, les moustiques, les tiques, les puces et même les poux.
En masquant efficacement l’odeur de la transpiration du cheval, il rend ce dernier « invisible » aux insectes piqueurs aux alentours.
L’une des qualités majeures de ce spray est sa tenue dans le temps. Une seule application protège le cheval pendant environ 48 heures, une performance remarquable pour un répulsif naturel. De plus, sa formulation sous forme d’huile sèche ne s’évapore pas rapidement et résiste à l’eau ainsi qu’à la sueur du cheval.
Le spray anti-insectes Ekin se distingue par sa formule 100% naturelle, sans insecticide de synthèse. Il est composé exclusivement d’ingrédients actifs d’origine végétale soigneusement sélectionnés. On y trouve en particulier de l’huile de neem et de l’huile essentielle d’eucalyptus citronné, dont l’odeur citronnée puissante joue un rôle de masque des odeurs corporelles du cheval, déroutant ainsi les insectes. L’huile essentielle de lavandin est également un composant clé : c’est un répulsif naturel bien connu, qui renforce l’efficacité contre les mouches et poux (tout en dégageant une senteur agréable pour l’humain).
Ces principes actifs sont mêlés à des huiles végétales estérifiées (formant la base huileuse sèche) et à de la vitamine E, ce qui confère au produit des propriétés nourrissantes et protectrices pour la peau du cheval.
Grâce à l’absence de substances chimiques agressives, la tolérance cutanée du spray Ekin est excellente dans la grande majorité des cas : il n’irrite pas la peau et convient même aux chevaux à la peau sensible.
L'aspect écologique n’est pas en reste, puisque ce répulsif naturel ne pollue pas l’environnement des écuries et s’inscrit dans une démarche de soin plus respectueuse de la santé du cheval et de son cavalier.
Présenté en flacon spray de 500 mL, le produit est facile à appliquer uniformément sur le corps du cheval. Quelques pulvérisations sur chaque côté, suivies d’un léger passage de brosse pour étaler, suffisent à couvrir l’animal.
Les cavaliers apprécient également que le spray Ekin calme durablement les irritations dues aux insectes : en éloignant rapidement les mouches et autres piqueurs, le cheval est moins agacé et cesse de se gratter frénétiquement, ce qui contribue à son confort sur la durée.
Enfin, son parfum citronné et lavandin est jugé plaisant, bien loin de l’odeur âcre de certains répulsifs chimiques, ce qui rend son usage d’autant plus agréable au quotidien.
Il s’intègre parfaitement dans une approche naturelle de la protection du cheval, en complément éventuellement des traitements vétérinaires lorsque ceux-ci sont nécessaires.
En l’occurrence, contre les poux du cheval, ce spray ne remplace pas un traitement acaricide en cas d’infestation avérée, mais il peut aider à prévenir une récidive en éloignant d’éventuels poux nouvellement éclos ou transitant d’un autre cheval.
Son utilisation régulière, notamment sur un cheval ayant été traité contre les poux, crée une sorte de bouclier odorant dissuasif qui vient parfaire le protocole antiparasitaire.
En conclusion, si votre cheval est sujet aux attaques d’insectes ou si vous souhaitez éviter le retour des poux après un traitement, un produit répulsif naturel tel que l’Ekin Spray Anti-Piqûres d’Insectes constitue un choix judicieux. Fort de sa formule naturelle efficace et de sa résistance à toute épreuve (pluie, transpiration), il assure au cheval une protection durable tout en respectant sa peau et son bien-être.